mercredi 6 juin 2012

Soirée juste parfaite ! Vraiment parfaite !
Je suis allée cherché G. et LuI en voiture car ils ont fini leurs épreuves de BTS et donc une bonne soirée s'impose. LuI était vraiment a croqué, c'était incroyable, petite chemise blanche slim, un beau pantalon gris de costume, de jolie chaussure en cuir, just perfect ! Je les ai donc emmené au bar. La soirée c'est enchainé tellement vite que je ne m'en rappelle plus de trop. En gros, moi habillé en talon mini jupe et bas avec le simple mais coquin petit liseré noir derrière la jambe et un petit pull marin. On s'est assis sur deux chaises différentes, mais l'un à coté de l'autre. On s'est réellement cherché toute la soirée, il allé fumé, et me demandé de venir avec lui. J'ai été tirer de l'argent il est venu me rejoindre, partout où j'allais il venait, partout où il allait je venais ! C'est simple je pense. Sous la table il attrapait ma jambe avec les sienne, me caressant tout doucement le genou. Encore, encore ! Un moment on était dehors, son pote fumé et il n'avait pas de feu, il est donc parti à l'intérieur du bar pour en chercher, et en partant nous a dit "aller vous avez le temps pour vous bécoter ! ", comme j'ai découvert que tout se répété, je pense pourvoir dire qu'il parle de moi entre eux, et que LuI a du dire à G. que je lui plaisais. C'est bon ça ! (il y aura surement des fautes dans ce texte qui seront corrigé demain ou pas, encore trop d'alcool dans le sang !). En revenant du DIB, je lui ai dit quelques chose de pas vraiment gentil et pour m'excuser je lui ai fait un bisou, un premier petit bisou, tout sage, sur sa joue avec une trace légère de rouge à lèvre,j'ai voulu l'essuyer il n'a pas voulu. Il m'a dit que tout était jolie chez moi ce soir, les chaussure la jupe le pull, tout. Je sais maintenant réellement qu'il me veut, que je lui plait, que l'autre fille arrivée hier dans le groupe a perdue sa place ! J'aime ça. Que plus les soirée vont passées, plus il va se rapproché, j'aime cette lenteur. J'aime sentir sa main contre mes reins, comme il l'a fait ce soir. Ses amis nous regarde font des messes basses, comme au collège, pour dire Ah t'as vu ils iraient bien ensemble. Ils sont mignons quand ils ont tous bu ! Je le sais maintenant il est à moi ! Va falloir reprendre le vélo ou la course à pied car les fesses et les cuisse cellulite ça fait rêver personne !

mardi 5 juin 2012

Un endroit désert ! I'm wait !


.
 .

You can have me all you want
Any way, any day
To show me where you are tonight

.
.

Se taire ! Laisser faire !


      C'est trop dur, je suis calme seulement quand je dors. Dés que le réveil sonne, la boule au ventre revient, l'envie de lui enlever ses vêtement avec. Je n'avais pas connu une passion intérieur depuis si longtemps. Ce soir il sera là, il sera beau. Je sais qu'il met des chemise slim, de magnifique pantalon qui le moule là où il faut, mmmmmmh il va me faire mourir. Je rêve, je me languis d'être assise sur les rebords des fenêtre du bar, de l'attraper par sa cravate, de le ramener entre mes jambes violemment, et tout en maintenant sa cravate l'embrasser fougueusement ! Oh oui !

AAAAAAAAAAAAAAAAh !




JE LE VEUX !!!

 Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux !

Et encore une !

Encore une autre soirée, un peu différente. Il faut que je m'éloigne un peu de lui, car il a bien compris ce que je voulais. Et ça c'est mauvais signe. Il devient un peu plus distant, moins enjôleur. J'aime pas ça.
Il ne devait pas sortir ce soir normalement, alors je ne me suis pas faite forcément jolie, manque de bol il s'est pointé. J'ai fait exprès d'être indifférente quand il est arrivé, en tournant la tête pour qu'il m'interpelle pour me dire bonjour, je pense que ça a marché. Mais ce soir là il y avait une autre fille, qui ne vient jamais d'habitude, elle est jolie, toute fine, pas comme les autres filles qui sont là d'habitude et qui font plus marchande de poisson qu'autre chose. J'ai un peu peur, peur qu'il la préfère à moi. Je sais j'aimerai passer la seconde vitesse avec lui, mais comment ? Demain il fête la fin de ses examen,il va donc boire plus que d'habitude et de raison, je vais tenter un rapprochement, mais je ne veux pas passer non plus pour la fille qui a faim, qui n'en peux plus et qui ne veux que lui. Peut être mettre ça sur le compte de l'alcool. Sa marchera peut être, j’espère bien que sa marchera surtout, je n'en peux plus moi. Avec ses allusions perfides, ses regardes, je ne les veux que pour moi, je veux que sa avance, et je sais que sa avancera si on se retrouve dans une soirée dans une maison où on peut se poser tranquillement dehors ou dans un salon. Dans un bar sa n'avancera pas, on restera avec nos regard, on s'épuisera et puis sa passera. Je n'ai pas envie que sa arrive, non ! Je sais que je lui plait, je le vois dans les regard que son ami lui jette quand LuI fait quelques chose par rapport à moi. Mais j'ai appris à me taire aussi, qu'ils se disaient tout entre eux, alors je ne lui ferai plus de message bizarre, plus rien. Je souffrirais en silence, de toute façon, hier je lui ai parlé sur facebook, et bien sa à enlevé le charme que nous avions entre nous, j'étais heureuse de lui parlé sur le coup, puis quand tout s'est arrêté, triste, comme si on avait cassé quelques chose. J'aime tout compte fait cette attente, cette lenteur... Elle me tue, mais que c'est bon de mourir !

dimanche 3 juin 2012

Seconde soirée hier soir. Un peu plus de regard, de sourire, de toucher....

      Pour changer on s'est tous retrouvé dans le même bar vers la même heure. Tous oui car il y avait des filles en plus ce soir là. J'aime pas trop ça quand je ne suis plus la seule fille, je ne sais pas, la peur de ne plus être la petite à protéger. Je suis arrivée, il n'était pas encore là, j'ai bien fait attention de me placer de façon à ce qu'il reste une place à côté de moi et qu'elle reste libre (la magie du sac à main qui prend deux places :) ). Il a fini par arriver, l'air de rien je l'ai vu de l'entrée (notre table se trouvait au fond du bar), j'ai fais mine je n'ai rien vu, je ne t'attendais pas du tout. Il a fait le tour de la table me passant et repassant devant sans me dire bonjour, gardait-il le meilleur pour la faim ? C'est tout comme effectivement, il m'a dit bonjour en dernière avec une main posée sur ma taille. Ce soir il a mis ses lunettes, il est vraiment craquant avec, mieux qu'avec les lentilles, je sais pas ça fait sérieux, un sérieux à compromettre dans son travail. Mais je m'égare. Il est donc tout naturellement venu s'assoir sur la place de mon sac à main. Il a passé un moment à ne pas s'occuper de moi, à m'ignorer presque, à discuter avec les autres. Cela m'a légèrement frustré, mais en même temps si cela va trop vite où est le plaisir ? 
      Je n'aime pas trop les filles, je ne sais pas trop quoi leur raconter. Je préféré la compagnie de la gente masculine bien plus délicate et franche. J'ai vu qu'il allait se diriger dehors pour fumer, je l'ai devancé en y allant de moi-même avant (je ne fume pas précisons-le). Ils sont donc venu fumer dehors en me rejoignant. Mais ce n'est pas dans le bar le plus intéressant. Non, nous devions nous rendre à un concert en pleine air, la météo n'était pas au rendez-vous, un ami à donc proposé de se retrouver chez lui. Et arrivé chez lui, j'ai pour habitude de me servir un verre et de descendre dans le jardin, je n'aime pas les endroit clos. Dos aux escalier menant à l'intérieur de la maison, à regarder autour de moi, il est venu tout doucement en passant ses deux mains autour de ma taille, en y repensant j'aurai du me retourner, mais je ne sais pas cette homme me pétrifie, pourtant il me plais et je sais que je lui plais. Toute la soirée a été comme ça, fait de petit moment court mais qui en disent long. Plus tard assise dehors car finalement le temps a été clément, les jambe tendu sur la table (oui je sais ce n'est pas présentable surtout en jupe très courte avec des bas) , il est venu s'assoir à coté de moi les jambe tout comme moi, et m'a proposé de mettre mes jambes sur les siennes car je n'ai pas non plus d'immense jambe, et petit à petit il a commencé à me caresser les jambes, de discret mouvement, quand un autres m'a enlevé ma chaussure, et lui en a profiter pour vérifier si je portais des bas ou des collants, tout gérer à été trop dur j'ai donc sauvé ma chaussure pour ne pas tuer mes bas en marchant sur le sol et je me suis ensuite défendu comme je pouvais de cette intrusion, (intrusion plutôt plaisante avouons-le). J'aurai voulu me lever, lui grimper dessus à califourchon, l'embrasser, le faire tomber, être sauvage. L'ami de la maison en question m'a demandé si entre moi et ce LuI il y avait quelques chose, j'ai nié, c'est mon histoire, et je la garde pour l'instant pour moi, je pense qu'il va falloir encore quelques soirée et c'est dans la poche, mais en même temps je n'ai pas envie, j'ai envie de retarder ce moment le plus possible. Le garder pour nous, le faire languir, désiré, avoir envie de se retrouver qu'à deux pour se consumer, que tout le monde s'en doute, mais que personne ne le sache réellement. Je n'attend qu'une passion dévorante. Étant sortie d'une relation de plus de trois ans, morne et plate, j'ai envie de vivre la passion, l'amour, l'étreinte, quelques chose de vivant, de dangereux. En essayant ses lunettes hier, j'ai fait "oh tu es myope comme moi!", il n'a rien trouvé d'autre à dire que "oh bah nos enfants seront bien embêté si on l'est tout les deux". J'ai ri, mais j'ai surtout aimer...

vendredi 1 juin 2012

Première soirée

Sa y est, j'ai passé une première soirée réellement avec lui. Enfin presque, un de ces ami est venu me chercher ce soir, et puis ils nous a retrouvé dans un bar. Il n'est pas vraiment beau, mais je ne sais pas son physique m'attire, il est charismatique, il a de la gueule surtout, je pense que c'est cela qui me plait me retrouver avec un homme un vrai. Il est séduisant j'aime la façon dont il s'habille, c'est classe tout en étant décontracté, j'aime ça. Mais on a pas passé seulement la soirée dans un bar non, on a été chez un ami en commun, on était sept dont une autre fille. Au début il ne s'est pas posé a coté de moi, je me suis dit que ce n'était pas bon signe mais au fur et à mesure de la soirée il s'est rapproché, un mini massage de quelques seconde, j'ai juste posé ma tête sur son épaule pas très longtemps mais assez pour qu'il s'en rende compte car personne ne se décidait à faire quoi que se soit alors j'ai voulu dire que j'étais lasse de la situation et en même temps montré mon affection, et puis il est venu sur le même banc que moi, et là il n’arrêtait pas de faire trembler sa jambe ! Ah que cela peut m'énerver, j’essayais alors de le faire arrêter mais sans succès j'ai alors posé ma jambe sur la sienne jusque quelques instant, on arrêtait tellement pas de se chamailler que les autres ont gueuler "Oh on dirait un vieux couple!!!", sa fait plaisir et peur à la fois. J'ai aussi croisé antoine ce soir, furtivement il est passé devant le bar où nous étions au début juste comme ça, il a klaxonné et il est parti, tout le monde a gueulé sauf lui, j'ai juste dit au putain et lui "Ah quand même", je lui ai dit c'était mon ex, il m'a juste répondu oui je sais j'ai bien vu. Rien de plus, il ne l'a vu qu'une fois et pourtant il l'a retenu, bizarre comme réaction et pas anodine du tout je pense.
Mais j'ai peur, peur que se soit le genre de type qui prend une fille et la jette au premier coup d'un soir, il regarde tellement les filles, beaucoup moins depuis que je traine avec eux. Ah je retrouve ma jeunesse, sa fait un bien fou. Comme enfermé pendant trois ans, et libérée enfin, j'espère également être libéré du passé, car c'est le plus dur à oublier.

dimanche 27 mai 2012

C'est fou comme j'ai envie d'écrire en ce moment, poser sur le papier mes envies. Attendre des heures qu'il se connecte enfin, attendre qu'il vienne me parler, craquer, lui parler en premier, regretter, attendre qu'il réponde... Ah sa me tue ! Détester le portugais avant, vouloir en écouter, ressortir ses cours de lycée, trouver la langue toujours moche. Avoir envie de le prendre, qu'il danse avec moi furieusement, ne rien faire dans le calme, avoir la passion, mourir d'impatience, sans vouloir, se dire qu'on est bête de se rendre comme ça, avoir une meilleure amie qui ne l'aime pas, sans vouloir encore de choisir des hommes qu'elle n'aime pas à chaque fois, se dire tant pis, profiter, vivre, aimer, ressentir, et mourir d'avoir un sourire niais et l'estomac à l'envers pour rien ! 

Ah le désir ...

Quelle galére ces papillons !

Le besoin d'écrire arrive quand le sentiment de mal-être commence. J'ai soudainement envie d'écrire en ce moment, comme dans les années lycées où l'adolescence est là, où les rêves s'échouent. Malheureusement, je pense que cela est dû à cette relation que j'ai avec un homme depuis plus de trois ans, je ne trouve plus la force pour continuer à l'aimer, l'amour dure-t-il réellement trois ans ?
Je pense que l'entourage familial y est pour beaucoup, ses parents je ne les aime pas, mes parents n'aiment pas ses parents, et de plus j'ai la nette impression que ses parents ne m'aiment pas non plus. Oui ce n'est que la belle-famille, on ne vit pas avec mais pour moi c'est important. Lui ne voit rien, il ne comprend rien, je ne le comprend pas. Il avait tellement de chose admirables dans la tête, il a perdu son éclat à mes yeux. C'est dur de parler ainsi mais lorsqu'on se voit, les rares fois maintenant, je ne sais pas quoi lui dire, alors je l'écoute patiemment ; mais j'oublie ce qu'il me dit, je ne retiens rien. 
Déjà cet été la question d'une séparation c'était posée, mais je n'avais pas supporter le voir avec une autre fille alors je l'avais repris, l'amour nous quitte peu à peu c'est triste de parler comme ça très triste. Mes parents me disent de me trouver quelqu'un d'autre, quelqu'un de sérieux avec un avenir ou un travail stable pas comme aujourd'hui. Car monsieur, veut monter sa propre boîte, jusque là tout va bien. Mais il veut la monter avec un pseudo drogué, qui ne veut pas mettre ses mains dans les papiers, ni se bouger trop les fesses, le seul avantage : avoir un terrain complet grâce au drogué et donc ne payer aucunes charges. Cela dit je le comprend sur ce point, mais je ne le comprend plus sur le reste, monter une boîte de négoce auto, sans faire de prêt ni rien et donc de payer tout au fur et a mesure, heureusement qu'il est encore chez ses parents sinon je ne sais pas avec quoi il vivrait. 
Les larmes montent petit à petit, on effacent pas une histoire de trois ans comme ça. Je regrette le temps, qui n'est pas si lointain où il était encore charpentier, et même après l'avoir poussé à faire un bac pro, je n'aurai pas dû. Il avait de l'or dans les mains cet homme et a tout gâché. Il était parti pour faire un BTS, et pourquoi pas aprés une licence professionnelle, maintenant tout c'est évanouit. Alors dans ma tête je cherche quelqu'un d'autre, pas qu'il me traite mal non au contraire je suis une princesse à ses yeux, mais je n'en peux plus on ne se voit qu'une fois par semaine et c'est tout, ou alors on se croise sur la terrasse d'un café en se croisant par hasard en centre ville. Je n'en peux plus c'est trop dur à vivre. 
J'en suis venu à lui mentir, malgré moi, je sors tout les soirs de la semaine, lui me crois sagement à la maison, mais non je suis entouré d'homme, d'homme que j'aimerai convoité et que je convoite. C'est plus fort que moi, j'ai besoin que l'on fasse attention à moi, que l'on se rappelle que j'existe. 
Un homme me fait ressentir ça en ce moment et j'aime ça. Il est plutôt mignon, mais j'ai appris à me méfier du physique (étant blonde aux yeux bleus, assez jolie d’après ce qu'on en dit), il à l'air de savoir ce que je veux et comment se comporter avec les filles, ça par contre je n'aime pas trop car il est charmeur avec toute, et je ne le veut que pour moi. Qui aurait pu croire que j'allais tomber sous le charme d'un homme un tout petit peu plus que petit que moi, portugais de surcroit mais avec un style incroyable, un charisme formidable... 
C'est malheureux, c'est malheureux de lui faire ça... 
Hier on s'est retrouvé comme des gosses de 17 ans, à boire un verre avec une amie dans un bar, puis il nous a rejoint, mon amie vers les 1h du matin est partie en croyant que nous aussi nous allions partir, on l'a raccompagné à sa voiture, remonter aux nôtres et je ne sais pas pourquoi mais on s'est assis sur un bac comme deux ados. Ah c'était bon ! Je n'avais pas fait ça depuis longtemps, c'était bon de ses sentir vivante! De se sentir encore désirable et désirée. J'aimerai retourné à la soirée d'hier, ce jeu entre nous, et l’espoir de ne rien dire qui pourrait compromettre son regard sur moi. 
L'impression de retrouver ma jeunesse est incroyable, elle est magique! Je n'aurais pas pensé un jour la retrouver, ai-je perdu mon temps pendant trois ans ? Non seulement des amis, c'est fou comme l'on se coupe du monde quand on est en couple et souvent et je ne sais pas pourquoi on se retrouve avec l'entourage de l'homme et on oublie le sien pour si un jour cela se termine se retrouver bien embêter et seule de surcroit. 
Je veux encore être vivant, je veux le revoir vite, je veux être lundi soir et le voir. Je veux qu'il ne voit que moi, je veux, je le veux ! 
Personne ne lira un article aussi long et dépourvu de sens, d'ailleurs je ne sais même pas si j'ai des lecteurs, personne ne connais l’existence de ce blog, à bientôt 23 ans je pense que personne ne se doutent même d'être propriétaire d'un blog. Tant mieux, c'est mon journal j'y raconte tout sans queue ni tête. 
Rien qu'à penser à lui j'ai ses banales mais terribles petit papillons dans le ventre, je sais sa passe en quelques moi, mais quand même ils sont géniaux ceux-là ! J'avais vraiment besoin d'écrire, de libérer tout ça. Sa fait un bien fou, je sais où il habite. 

Imaginons (oh que cela me plairait), je me pointe chez lui (oui il me donne un courage incroyable!) je sonne, il est seule, oh mon dieu ! Je ne résisterai pas à l'envie de lui sauter dessus sauvagement et alors lui arracher la bouche, lui arracher ses si belles chemises, l'embrasser violemment, oh que se serait bon, contre un mur, reprendre le contrôle, reprendre le plaisir perdu, j'en ai l'estomac tout resserré! C'est bon, sa serait bon ! 

Mais je rêve, je rêve trop vite, comme toute ado en effervescence hormonale, j'ai une histoire à gérer et je sais qu'il ne fera rien tant que je ne serais pas seule. Mazette ! Mais fait, fait donc quelques chose, je suis au boulot à scruter si il se connecte sur facebook (est-ce utile de rajouter que j'ai un travail passionnant?), sans succès avec l'envie folle de le voir, et la timidité que je fais passer dans l'alcool quand on se voit pour être plus à l'aise. Piouf c'est fou, hier en partant j'ai fait exprès de m’arrêter alors que le feu était vert pour avoir le rouge et alors qu'il soit derrière moi et que je vois où il habite, car il est bien parti 2 min après moi. J'aime pas ça, alors qu'il à une voiture plus récente que la mienne qu'elle démarre bien mieux, écrivait-il un sms à quelqu'un? une fille ? Ma jalousie revient, c'est bon ça ! Je me surprend, c'est étonnant, moi qui n'aime pas les bas, hier j'en ai mis alors que je savais pertinemment que sa ne se verrai pas, non juste pour moi pour me sentir plus femme, plus sexy.

Ce que c'est bon enfaite d'être seule...

samedi 5 mai 2012

Du blabla, des recettes, du tricot, un petit bout de vie...

    Ce blog n'a pas pour vocation à avoir un sens, non juste mes envies du moment. Il prendra peut-être une tournure au fil du temps, tricot acharné, ou aliment délicieux, cuisine ratée ou tranche de vie! Seul l'avenir nous le dira. On verra bien ce qu'il donnera ce petit....